1. |
Couleurs
04:58
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Couleurs
Paroles : Guay
Musique : Jalbert, Guay, Ojeda
Le rouge des paroisses s’éteint peu à peu
Le sang, les prières ; le froid envahit
Comme un poète, sa foi le trahit
Le temps n’arrangera rien, le temps nous unit
Même le décor nous abandonne encore
Les couleurs s’effacent et tourne au gris
Une voix s’éteint une autre renait
Certains voudront vous taire
Certains crieront plus fort, certains crieront
Même le décor nous abandonne encore
Les couleurs s’effacent et tourne au gris
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2. |
En attendant
03:49
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En attendant
Parole : Guay, Jalbert
Musique : Guay, Jalbert
Oui, il neige encore
Comme des ancres qui tombent
Pour écraser l’espoir
En lequel j’ai pût croire
Étendu dans le noir
Je cherche tes yeux
Des phares
Pour m’aider à mieux voir
La crevasse sous ce voile blanc
En attendant, la lumière
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3. |
Odeur Chimique
03:31
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Odeur chimique
Paroles : Guay
Musique : Guay
D’après la mort du client
J’étais assis plus loin
Plus loin, au coin du corridor
Odeur chimique qui m’implore
De sortir d’ici, plus vite
Je perds mes mots
L’horloge qui tourne
Trop lentement
Je cours, je cours, je cours
Je me réveille en pleurant
Je ne peux pas partir maintenant
Tu es sorti il y a deux jours
Maintenant je suis seul à mon tour
Odeur chimique qui m’implore
De sortir d’ici, plus vite
Je perds mes mots
L’horloge qui tourne
Trop lentement
Je cours, je cours, je cours
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4. |
Fuit
06:07
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Fuit
Paroles : Guay
Musique : Guay,Jalbert
Non, tu mens encore
Tu es encore dehors
SI ton cœur palpite c’est parce que tu as tort
Envies de dérape ou tomber en épave
Fuis ton corps, pour un nouveau départ
Fiston, il n’est jamais trop tard
Si l’on te dit que l’amour n’est que peine perdu
Dit toi que sans elle, tu ne fais que garder ta peine
Si tu rentres ce soir
Dit toi que je t’ouvrirai la porte
Fuis ton corps, pour un nouveau départ
Fiston, il n’est jamais trop tard
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5. |
L'apesanteur
05:18
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L’apesanteur
Paroles : Guay, Jalbert
Musique : Guay
Relèves-moi
Le printemps nous reviendra
Si l’hiver est bonne
Dis-moi qu’on ne peut tomber plus bas
Voles-moi mon cœur
Je volerai le tiens
J’affrontes l’apesanteur
Mais pourtant, rien ne me retient
Soutiens-moi
La neige m’ancre au sol
La fonte à la porte
Toi, debout sur le seuil
Et à son entrée
Le début du deuil
Vole-moi mon cœur
Je volerai le tiens
J’affrontes l’apesanteur
Mais pourtant, rien ne me retient
Mais pourtant, tu ne me retiens plus...
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